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17 juin 2011 5 17 /06 /juin /2011 17:21

La bande annonce :

 

Voilà.
Vous avez bien regardé la vidéo? Bien. Tant mieux. Parce qu'il n'y a rien de plus dans ce film.
On se fait chier pendant une heure et demie. On veut s'interesser aux personnages? Ouais, sauf qu'ils sont d'un vide abyssal. Le scénario? La premiere partie n'est pas cousue de fil blanc mais avec de la corde de marine. La deuxième partie? Aucun intérêt.
Les monstres , Mouhahah, c'est la bonne blague du film qui s'appelle Monsters, on les voit environ 40 secondes pendant tout le film, et ils ressemblent à des espèces de pieuvres géantes moches.
La fin? Pfff, tous les personnages meurent, sauf les 2 héros qui rejoignent la Terre Promise, ah non, pardon, les États-Unis, s'embrassent sous une pompe à essence attaquée et se font ramasser par l'Armée.
Bref c'est nul à pleurer, économisez votre temps, et allez louer un autre DVD.
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16 juin 2011 4 16 /06 /juin /2011 17:09

Grace, c'est ça :

 

Le pitch, comme vous pouvez le voir dans la BA, c'est une jeune femme qui fait tout pour tomber enceinte. Un soir, son mari et elle ont un grave accident de voiture. Elle perd son mari et son bébé. Cependant, elle décide de mener la grossesse à son terme. Et miracle, le bébé, Grace, revient à la vie.
Alors évidemment, c'est le début des emmerdes... Parce qu'un bébé qui revient à la vie comme ça, c'est pas tout à fait normal. Et donc, le régime alimentaire de Grace est, comment dire, spécial...
Donc, vous l'aurez compris, Grace est un film d'horreur (encore...). OUI OUI, mais pas que. C'est aussi une réflexion sur la maternité, jusqu'où une mère serait-elle prête à aller pour pallier les besoins de son bébé?
Et puis les personnages.... L'actrice qui joue Madeline, la maman, est touchante, tout autant qu'elle fait peur, qu'elle est folle. Bref, elle couvre une palette d'émotions assez interessante. Quant au personnage de la belle-mère, mention spéciale pour la casse-couilles en chef, on a hâte qu'elle y passe.
Le twist final est digne d'un "Conte de la Crypte" (les amateurs se rappelleront). Et franchement, c'est un film vraiment original, à voir, par curiosité.
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9 juin 2011 4 09 /06 /juin /2011 18:01

Ah bah, une fois n'est pas coutûme, je suis surpris de voir qu'un roman français a été adapté aux US...

C'est tellement rare que ça mérite d'être souligné. Et oui, Unknown est l'adaptation cinématographique de "Hors de Moi" de... Didier Van Cauwelaert. Et ouais!

 

Juste pour ça, je me devais de voir ce film. En plus, l'acteur principal est Liam Neeson. Ce qui fait 2 arguments pour voir ce film!!

 

Je ne ferais pas de comparaison livre/film, pour la bonne et simple raison que "Hors de Moi" est toujours dans ma catégorie de livres à lire...

Bref, je reviens au film.

 

Martin Harris débarque avec sa femme à Berlin pour une conférence de biologie. Lors d'un trajet en taxi, il est victime d'un accident, reste dans le coma pendant 4 jours. A son réveil, il sait qui il est, mais il semble bien que ce soit le seul qui s'en souvienne. Martin va se mettre en quête de prouver son identité, et, au-delà de ça, son existence.

 

Je vais pas faire ma mauvaise langue, pour une fois, j'ai assisté à un bon thriller. J'ai trouvé que la première demi-heure était un peu longue, mais l'ensemble du film est plutôt bien rythmé.

Je ne peux pas en dire de trop car je vais dévoiler des éléments importants de l'intrigue, mais une fois de plus, Jaume Collet-Serra prouve qu'il est un bon réalisateur et que Liam Neeson est toujours aussi bon. Un bémol toutefois, c'est moins rythmé que "La mémoire dans la peau", dont le thème est similaire.

 

On retrouve évidemment des thèmes chers à DVC et surtout celui de l'identité. Qu'est ce qui fait notre identité? Ce qui est marqué sur nos papiers légaux? Notre passé? Ce que nous faisons de notre vie?

 

Ce thème semble plaire au réalisateur également, puisque nous lui devons l'excellentissime (et je ne mâche pas mes mots)

Esther. Cependant, Sans Identité reste un ton en dessous, il manque un petit ingrédient pour que la sauce prenne. Ça reste néanmoins un bon thriller.

Allez, zou, BA ! :

 

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8 juin 2011 3 08 /06 /juin /2011 17:59

J'ai un tout petit peu 2 ans de retard, mais mieux vaut tard que jamais...

Je poursuis dans mes sélections Gerardmer, celui ci a été primé en 2009.

 

En lisant dans les critiques de The Tunnel qu'il ne valait pas Midnight Meat Train, ça a titillé ma curiosité, surtout qu'on m'avait déjà parlé de ce film. Je me suis décidée à le regarder, sans savoir de quoi il en retournait, à part que ça parlait d'un train, de minuit et de viande...

 

Générique d'ouverture : réalisation Ryuhei Kitamura. Je ne sais pas qui c'est, mais il est asiatique, et en général, ça promet une bonne séance de frissons.

Scène d'ouverture: un mec tout seul dans un wagon de train se réveille et glisse sur une mare de sang. Il assiste au massacre d'un autre homme dans un autre wagon. ouais, ça commence bien...

L'histoire s'enchaîne avec un photographe qui cherche à exposer en prenant LA photo. Il va donc se mettre en quête de la photo sensationnelle en recherchant le frisson. Il se trouve nez à nez avec l'agression d'un jeune mannequin dans une gare. Cette fille est portée disparu et notre photographe se décide à mener l'enquête.

Et là, le film bascule dans un "torture porn", les massacres des malheureux dans le train sont plus dégueulasses les uns que les autres. On est à la limite de la gerbe. Le réal ne nous épargne rien, c'est franchement crade, faut pas avoir mangé avant....

Je ne suis pas spécialement fan du genre, la torture, la violence gratuite n'apportent pas grand-chose (exemple du genre : les "Saw", le premier est surprenant, les autres sont une surenchère de torture et de douleur portée à l'écran au détriment du scénario).

 

Au-delà de ça, le film prend le parti d'une réflexion intelligente sur l'obsession. Jusqu'où le "héros" est-il prêt à aller pour prendre LA photo? Sa quête désespérée vire à l'obsession qui met en péril sa vie, son couple, son équilibre mental.

Il ira jusqu'au bout de son enquête, jusqu'aux tréfonds de la ville, jusqu'aux tréfonds de l'horreur.

 

Le final est un peu débile, et fait un peu tomber le film à plat (à mon sens). Ceci dit, tout s'est éclairé quand j'ai lu que c'était tiré d'une nouvelle de Clive Barker (tiré des "Livres de Sang", nouvelle "Le Train de l'Abattoir"); on retrouve ses chers thèmes de torture, de douleur, de pousser ses héros ordinaires dans des situations horrifiques dont ils ne sortent jamais indemnes.

 

Pour en revenir au film, vous avez plusieurs possibilités. Si vous aimez les "torture porn",vous aimerez. Si, comme moi, vous n'êtes pas fan du genre, mais résistez à la tentation d'aller vomir au moins 26 fois, vous apprécierez le fond de l'histoire. Si vous ne vous retrouvez dans aucune des propositions précédentes, vous pouvez continuer à vivre normalement et faire comme si cet article n'avait jamais existé.

 

A noter que ce film est interdit au moins de 16 ans (largement mérité) et qu'il a eu le prix du Public au Festival de Gerardmer, même si ça n'a aucune incidence sur la qualité du film, puisque celui-ci a coûté 4 fois plus que ce qu'il a rapporté...

 

 

Je vous mets la petite bande annonce qui va bien et vous laisse aller manger votre steak....saignant (mouhahaha)

 

 

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7 juin 2011 2 07 /06 /juin /2011 17:38

Oui, oui, z'avez bien lu....Le petit chaperon rouge...

 

Vous allez rire hein, je l'ai regardé pour une seule et unique raison : je me demandais si Catherine Hardwicke arrivait à nous faire pire que le massacre de Twilight 1.

 

Je vais vous laisser mariner un peu, mais pas longtemps promis.

Si vous pensez que vous allez voir l'histoire d'une petite fille qui traverse les bois pour aller voir sa mère-grand, vous vous plantez, l'histoire, c'est pas ça. Bah quoi? Vous n'étiez pas au courant?

 

Bah non, bande d'ignares! Pour Hardwicke, le petit chaperon rouge a 18 ans, 2 mâles qui lui courrent après et est poursuivie par un gros méchant loup-garou... (si vous trouvez que ça ressemble à Twilight, c'est normal, manque R-Patz pour briller dans le jour....). Bref, le titre est une vaste fumisterie.

 

Donc là, on a 2 choix: où on crie tout de suite à l'arnaque, au massacre, à Charles Perrault qui doit se retourner dans sa tombe, soit on fait comme moi, on a une heure à perdre et on regarde....

Ouais, j'ai regardé. J'ai eu une lueur d'espoir en voyant apparaître Gary Oldman...qui s'est bien vite éteinte, son rôle se limitant à une phrase martelée à tout va, sur tous les tons.

 

On a du mal à se défaire de l'histoire originale, si bien que ça gâche vraiment tout le film. Ce n'est même pas une interprétation personnelle, c'est un trip sous acide...

Le chaperon rouge, Valérie de son p'tit nom, a donc 2 prétendants (un blond, un brun, 2 beaux gosses, cherchez pas, ça n'existe que dans les films), plus le loup-garou qui lui parle, faisant d'elle une sorcière que le village veut sacrifier pour avoir la paix.

Mouais, mouais, mouais....

Ou j'ai pas saisi la subtilité du film, ou y'en avait pas.

 

Je ne sais pas si Hardwicke a voulu faire une réflexion sur des thématiques adolescentes, en cherchant le loup, Valérie tombe sur son père (ahem...), s'il y a un message sexuel subliminal, quoi qu'il en soit, c'est maladroit.

 

 

 On est très loin de l'excellent "Thirteen" sorti en 2002, film qui racontait la dérive adolescente au sens le plus extrême du terme, Hardwicke se retrouve maintenant avec les pieds collés dans la mièvrerie des bons sentiments dégoulinants et des réalisations "contes de fées".

 

Je suis sympa, je vous épargne la bande-annonce!

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6 juin 2011 1 06 /06 /juin /2011 18:04

Miam Miam, un film avec Milo Ventimiglia.... (ça c'est de l'argument hyper objectif, n'est-ce pas?)

 

Pathology, un petit thriller bien sympathique dans le monde un peu glauque de la médecine légale.

 

Un petit pitch (comme d'hab, je deviens routinière, c'est pas bon!): un groupe d'étudiants en médecine légale se lancent LE défi : lequel d'entre eux sera capable de commettre le crime parfait, indécelable par ses camarades?

 

Une fois de plus, c'est un bon DTV, le scénar est sympa, bien foutu, les personnages sont plus barges les uns que les autres. Et on se demande où ils vont aller dans la surenchère....

L'intrigue est bien menée, jusqu'à la croustillante scène finale sous forme de "Aaaaaaah, bien fait pour ta gu**le!!! (TLBM!)"

 

Sans mauvais jeu de mots, on assiste à un film incisif, vraiment bien foutu, on se laisse porter sans trop se poser de questions, et c'est aussi bien comme ça.

 

Pour vous, une bonne soirée DVD, un bon petit film.

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4 juin 2011 6 04 /06 /juin /2011 18:18

Non, non, partez pas!!

Moi non plus je ne suis pas adepte des films d'exorcisme, on ne fera jamais mieux que l'exorciste, on est tous d'accord là-dessus.

Pour autant, je ne vais pas cracher sur celui-là, parce qu'il n'est pas mal, et certainement bien meilleur que tous les films d'exorcisme de ces dix dernières années (au moins).

Le pitch est pas très compliqué, une famille plus ou moins normale, une ado un peu dérangée et pouf, satan qui vient foutre sa merde.

 

Mais, la réalisation espagnole étant passée par là, on passe un bon moment devant son écran, parce que c'est pas filmé tout trouble comme d'habitude, et que le méchant n'est pas que le diable qui a possédé Emma. Parce que le réal prend aussi le risque de tuer un enfant, ce qui est hyper rare dans les films.

 

Evidemment, on n'échappe pas aux poncifs du genre, la grosse voix, la lévitation, les crucifix qui brûlent and so on.

Mais c'est pas que ça, et c'est pour ça que j'ai aimé. Il y a une vraie histoire, une véritable raison à la possession (et pas la loterie habituelle où Satan se dit "tiens, une ado tourmentée, si j'allais la posséder?".

 

Il ne rentrera pas dans mon top 10 des films qu'il faut absolument avoir vu, mais j'ai passé un bon moment devant ma télé.

 

Vous reprendrez bien un verre d'eau bénite avant de partir ?

 

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3 juin 2011 5 03 /06 /juin /2011 17:55

Spiral.

Produit en 2006. Sortie DVD : mai 2011.

Heureusement que ça parle pas nouvelles technologies, on aurait encore un métro de retard. Mais putain, les distributeurs, vous foutez quoi???

 

M'enfin, revenons à ce petit film.

Pitch : la vie de Mason, employé timide dans une compagnie d'assurances, bascule lorsque l'étrange Amber arrive dans l'entreprise...

 

C'est grosso modo le pitch que vous retrouverez sur Allociné. C'est la version courte de l'histoire :D

Parce que Mason, en plus d'être timide, est un brin (c'est un doux euphémisme) barge, talentueux dessinateur. Il vit tant bien que mal avec ses angoisses, ses démons plus ou moins intérieurs, en les exorcisant par la peinture, notamment.

Il rencontre Amber au travail, une jolie fille un peu perchée, qui vit un peu au pays des bisounours.

 

Sur les 80 minutes du film, les 60 premieres sont consacrées à l'étrange relation qui se noue entre Mason et Amber, on assiste au tissage de ce lien si fragile qui unit ces 2 êtres, voguant au rythme doux et lent d'une musique jazz; et comment ce lien va être soudainement rompu.

La dernière partie du film est en totale rupture avec son début. Les évènements et les révélations s'enchainent à un rythme effréné, tant est si bien qu'on arrive plus à dire si ce qu'on a vu est réel ou pas.

 

Encore une fois, certains trouveront ça chiant, et je peux comprendre que la lenteur du début du film puisse en endormir certains, mais c'est justement le contraste saisissant entre les 2 parties du film qui en fait tout son intérêt.

 

Une petite bande annonce qui en dévoile bien trop (et que j'ai eu du mal à trouver, au demeurant)

 

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2 juin 2011 4 02 /06 /juin /2011 18:01

Alors là, on fait dans le vintage. Je suis désolée d'avance pour mes chers lecteurs qui sont habitués à la nouveauté, là on va faire un petit bond en arrière, période bénie 80's.

 

Poltergeist, quand on en entend parler, c'est "ah ouiiiiiiiii, c'est la gamine qui passe dans la télé". Euh ouais, effectivement, c'est bien celui là.

Mais c'est pas que ça. Ce film est considéré par les amateurs comme un modèle du genre. Ouais, avec Spielberg à la prod et Tobe Hooper à la réal, déjà, ça envoie du bois.

Et puis quand même, ça manquait à ma culture cinématographique personnelle, j'avoue, j'ai honte (frappez-moi avec des pellicules Super 8).

Et comme en 82, je braillais encore dans mes couches, j'ai un peu raté cette période (bon je cherche des excuses, c'est passé au moins 50 fois sur RTL9). Tout ça pour dire que je n'avais JAMAIS vu Poltergeist.

 

Voilà cette erreur réparée. Et même s'il a pris 30 piges dans les dents, il est encore très très très bon. Pas aussi flippant que si je l'avais regardé en étant ado, mais il a de beaux restes (le premier qui dit ça de moi, qui ai donc le même âge que le film, je lui fais avaler son bulletin de naissance).

Les effets spéciaux ont (forcément) un peu vieilli, mais ça ne dénature en rien l'âme du film.

La petite Carol-Ann est trop trop trop choupi, elle a vraiment un visage d'ange, avec ses grands yeux bleus, on a de la peine pour cette jolie poupée, embarquée dans une sordide histoire...

Au-delà du film d'horreur, c'est aussi (du moins au début) une chronique sympa d'une famille américaine dans une jolie maison qui a l'air de s'éclater.

En fait, ça change des poncifs du genre, famille qui se déchire, mari très (con) incrédule face aux manifestations surnaturelles. Nan, nan, la famille est hyper soudée, et c'est ça qui la sauve.

 

 

Même s'il n'est pas aux commandes du film, on sent Spielberg aux effets spéciaux, et aussi à la poésie insufflée dans des moments de haute tension, notamment les manifestations ethérées du poltergeist, j'en suis encore sur le cul. Mais comment il arrive à faire ça?

 

Et à l'heure où on essaie de nous faire avaler de pseudos documentaires (voir ici, ici, ou encore ) la réalité rattrape la fiction (où alors, je suis hyper crédule, et j'aime trop les histoires qui font peur). En me documentant sur le tournage, en voulant connaître la bio et filmographies des acteurs, je suis tombée là dessus :

Poltergeist - le film maudit

 

Et pour terminer sur une note positive, c'est un très bon film vintage. Un remake est en préparation (bon, depuis 2007...) et il aura sûrement le même défaut que tous les remakes des années 80, de bons effets spéciaux, mais plus l'intensité émotionnelle de l'original.

 

Sur ce, bonne nuit. Et n'oubliez pas d'éteindre la télé... "They're here...."

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1 juin 2011 3 01 /06 /juin /2011 18:00

Arf...

Chéri voulait regarder un peu de SF... Pas que je crache sur le genre, y'a des chefs d'oeuvre, comme dans tous les domaines, mais là, euh, bon, voilà quoi.

Production Walt Disney, on sait à quoi s'attendre: OUH les vilains méchants qui pourchassent les gentils gentils....

Comme toutes les productions WD, c'est hyper manichéen. Mais bon, passé cet a priori (qui est plutôt un état de fait), je regarde quand même, je suis en général bon public (je critique après...).

 

Alors, le pitch : des gentils extraterrestres dotés de super pouvoirs se sont fondus dans la masse humaine pour échapper aux méchants extraterrestres qui veulent les exterminer...

Le film s'ouvre sur l'assassinat de numéro 3. Donc, si tout le monde suit, numéro 4, c'est le prochain.

Chaque numéro a un tuteur, qui à le rôle de père de substitution, jusqu'au moment où il meurt, pile poil quand son protégé devient autonome (comme c'est pratiiiiiiiiiique).

 

Donc, numéro 4 est un ado, qui tombe amoureux (évidemment), qui ne veut plus fuir parce qu'il est amoureux (évidemment) et qui découvre à ce moment-là l'importance de ses pouvoirs (évidemment).

 

Le scénario est niais, mais les effets spéciaux sont bons. La bande-son est sympa, visuellement c'est joli (bon c'est pas Avatar non plus hein, quoique niveau scénar, c'est aussi léger). Ça se laisse regarder, mais c'est pas le film de l'année.

 

A conseiller si vous avez un ado à la maison, en gros...

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